Une histoire d'histoire

Mutine a écrit:
  Jolie dame !   Très ... libre .....  

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galadriel a écrit:Nous avons une tête de Jules à Arles :D
au Musée, retrouvée avec d'autres vestiges dans le Rhône.

Parmi les chapiteaux et fûts de colonnes gisaient un grand Neptune de marbre, un Bacchus juvénile, une Victoire en bronze doré, une statue de captif d'influence hellénistique et surtout la tête en marbre de Jules César, portrait inédit du fondateur de la colonie romaine d'Arles qui a été daté de -46.


Je l'ai vue, c'est impressionnant.


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galadriel a écrit:J'attends avec impatience la sortie  en France du film-docu' de Peter Jackson
sur la Der des Ders :





They Shall Not Grow Old ! :merci-5:


They Shall Not Grow Old est un film documentaire britanniquo-néo-zélandais réalisé et co-produit par Peter Jackson, sorti en 2018. Le film a été réalisé à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale en utilisant des archives d'époques provenant du Musée Impérial de la Guerre de Londres. La particularité de ce documentaire tient des clichés colorisés pour l'occasion et auxquels on a ajouté le son et les dialogues. Des témoignages et interviews d'anciens soldats Anglais à la BBC accompagnent les vidéos tout au long du film. Grâce à l'usage de nouvelles technologies, chaque séquence du film a pu être colorisée à la main. Les effets sonores tels que les bruits d'obus ou encore les conversations ont également été rajoutés en faisant appel à des agents du secteur criminalistique lisant sur les lèvres. L'addition des couleurs mais aussi des sons permet ainsi une immersion dans l'expérience qu'ont vécu les soldats.
Le titre du film est en référence au poème Pour les soldats tombés de Laurence Binyon paru en 1914.

Selon Peter Jackson, l'équipe de tournage a écouté environ 600 heures d'interviews de la BBC et du Musée Impérial de la Guerre et ont aussi regardé plus de 100 heures de séquences vidéos originales pour réaliser le film. ces interviews proviennent de 200 vétérans dont 120 extraits audio ont été utilisés dans le documentaire.
Afin d'accentuer le film sur l'histoire des soldats eux-même, le réalisateur a décidé de ne pas faire appel à un narrateur et de laisser le film être décrit par les soldats seulement.



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galadriel a écrit: :
Fellowship is Life !


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Balthazar par Pevel
Le Paris des Merveilles

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Un descendant du Ent Sylvebarbe (Fangorn en Sindarin) sans doute.


Fangorn et Merry et Pippin

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A Lady Ent
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disparue, puisque dans la trilogie, les Ents recherchent "leurs femmes".

Daniel Falconer et Shaun Bolton, deux des designers de la trilogie cinématographique du Seigneur des Anneaux ont sculpté le visage de Sylvebarbe au moyen de moules tirés d'un arbre <sup>pohutukawa.



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galadriel a écrit:
Pfffffffff y paraît qu'il a fait un grand feu ..de Joie ?
Et qu'après il est resté comme Néron d'flans ! 

What a pity !



- Hypothèse de sa culpabilité dans le grand incendie de Rome remise en cause depuis.

galadriel a écrit:
Merci, intéressant, résumé et net et précis ! :merci-5:
Jetant à bas des idées reçues bien ancrées...

Brian Cox, j'ai cru le scientifique, :fou-2:
en fait c'est Brian Cox le very good actor écossais-
je crois l'avoir connu dans Braveheart.

Les couleurs de la Koré - ou Coré
de Lyon



ps / j'avais visionné une vidéo sur les vraies couleurs des statues
enfin les couleurs d'origine
grecques surtout - et autres...
mais je ne la trouve plus !

Si tu y arrives, elle était en anglais me semble !

:bye-3:

galadriel a écrit:Ah oui on n'imaginerait pas les décorations, les couleurs, l'or
employés ! C'est magnifique.
J'adore.
On devrait en repeindre qq'unes ! :fou-2: :rire: 

galadriel a écrit:
Très intéressant de voir ces célèbres photos
en couleurs, mais pour certaines comme celle
de Kim Phuc la petite "napalmée" :pale: , photo de David Burnett
je trouve que le noir et blanc a plus de poids et retransmet
bien mieux l'horreur si je puis dire !

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Comme celles où l'on voit la dépouille du Che
ou celles de Jan Palach
...noir et blanc choc et réaliste malheureusement !

Invité a écrit:
C'était il y a tout juste cent ans. Alors que les Allemands tentent une dernière offensive, une épidémie de grippe H1N1 s'abat sur l'Europe avec une virulence inédite. Dans un contexte de censure propice à toutes les rumeurs, les autorités sanitaires et les médecins se révèlent impuissants. Bilan : 50 à 100 millions de morts en six mois dans le monde. Retour sur la pire pandémie que le monde moderne ait connu.

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La grippe débarque avec les GI

Une chose est sûre : cette grippe n'a d'espagnol que le nom. Le virus étant mutant, il est difficile de déterminer son origine. L'Asie reste l'hypothèse la plus probable. Mais c'est aux Etats-Unis, dans un camp d'entrainement de soldats au Kansas, que les premiers cas sont signalés en mars 1918. L'épidémie de H1N1, qui se répand rapidement dans tout le pays, débarque au printemps dans les ports français : durant ces mois capitaux, les GI arrivent par centaines de milliers pour soutenir les Alliés face à l'offensive allemande.

De France, la première vague de grippe, très contagieuse mais peu létale, gagne le Royaume-Uni et l'Espagne en mai, où elle fait les gros titres : 8 millions d'Espagnols sont grippés, dont le roi Alphonse XIII. Mais en France comme dans les autres pays belligérants, la censure règne. "L'information sanitaire est considérée comme sensible et l'information sur les épidémies est contrôlée, explique Anne Rasmussen, professeur en histoire des sciences à l'université de Strasbourg. Il ne faut pas révéler à l'ennemi un état de faiblesse qui pourrait servir la propagande, ni démoraliser la population."

Une deuxième vague, bien plus meurtrière, s'abat sur l'Europe à la fin de l'été. En octobre et novembre, elle fait l'objet d'articles quotidiens. Pour les contemporains, elle semble venir tout droit d'Espagne. Pour les historiens, elle serait en fait partie de France en août : le virus, qui a muté, est beaucoup plus létal et s'accompagne plus fréquemment de pneumonies bactériennes.

Une troisième et dernière vague survient pendant les premiers mois de 1919, sans faire autant de dégâts que la précédente.

Des chercheurs anglais ont toutefois émis l'hypothèse que l'épidémie aurait eu pour origine le camp militaire britannique d'Etaples, dans le Nord de la France, et pourrait correspondre à l'une de ces "fièvres de tranchée" non identifiées qui se sont déclarées en 1916-1917.

la suite ......

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galadriel a écrit:
Le premier livre d'artiste imprimé de l'Histoire vendu aux enchères chez Christie's ce 20 Février
Un incunable, l'Apocalypse de Dürer, estimé à 150 000 euros.

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Albrecht Dürer. L’Apocalypse, demi-vélin blanc à coins, à la Bradel, dos lisse (reliure ancienne). 

  

• En l'occurrence, l'ouvrage – la première édition en allemand de L'Apocalypse– est une reconstitution qui contient quinze gravures xylographiques accompagnées du texte biblique. À l'époque, l'artiste met au point une technique – abondamment copiée par la suite – qui laisse apparaître l'extrême finesse et l'infinité des traits qui constituent les lignes. Chacune des gravures est d'une grande richesse de détails. Selon le libraire spécialisé Bertrand Meaudre de la galerie Lardanchet à Paris, aucun exemplaire similaire n'a été présenté sur le marché de la bibliophilie depuis vingt ans. C'est justement Bertrand Meaudre qui a conseillé, et ce depuis 1996, l'amateur Marc Litzler, un ancien banquier, qui met aux enchères cette collection de livres illustrés estimée 3,2 millions d'euros au total.