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Re: Quoi ? Où ?
par beced Ven 16 Déc - 19:28
Romy a écrit:C'est promis je laisse tomber le jus de citron
je passe au jus d'orange !
Paroles sages de l'Homme Invisible
Pour la wifi ???
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Re: Quoi ? Où ?
par Romy Ven 16 Déc - 18:08
C'est promis je laisse tomber le jus de citron
je passe au jus d'orange !
Paroles sages de l'Homme Invisible
je passe au jus d'orange !
Paroles sages de l'Homme Invisible
Romy- Messages : 6058
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Ven 16 Déc - 16:51
palmier37 a écrit:
Cela peut se résumer par "la naïvité n'a pas de limite"...
Exemple :
En se mariant, toute femme s'imagine sottement qu'elle pourra transformer son époux, et tout homme a la naïveté de croire que sa femme ne changera jamais.
(Lu sur le Net)
.
beced- Messages : 29671
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Re: Quoi ? Où ?
par palmier37 Ven 16 Déc - 16:44
beced a écrit:
Surconfiance et jus de citron : l'effet Dunning-Kruger :chepa:
1995. L'Américain McArthur Wheeler alors âgé de 44 ans, se lance dans le braquage de deux banques à Pittsburgh, avec pour seul camouflage pour dissimuler son identité, du jus de citron méticuleusement appliqué sur le visage. Rapidement identifié par les caméras de sécurité, le braqueur est arrêté et entendu par les autorités.
L'homme avait lu quelques temps auparavant que le jus de citron était historiquement employé comme encre invisible.
Effectivement, un texte rédigé à l'aide de jus de citron est imperceptible et se révèle en rougissant le papier à la flamme.
Wheeler pensait, à tort, q'un effet similaire se produirait en s'enduisant le visage de cette encre invisible artisanale. Il en savait si peu sur la composition du jus de citron et sur le fonctionnement de la télésurveillance qu'il était persuadé que son déguisement le rendrait méconnaissable aux caméras de sécurité. Confiant dans sa démarche, Wheeler avait néamoins pris soin de mettre à l'essai sa théorie en se prenant en selfie avec son polaroid. Malheureusement pour lui, la pellicule défectueuse était ressortie blanche, renforçant d'autant sa conviction quant à la validité de son artifice.
Comment est-ce qu'un homme ordinaire a pu être si confiant dans la réussite d'un tel braquage? C'est cette histoire qui a fasciné et inspiré deux chercheurs du département de psychologie de Cornell University : David Dunning et Justin Kruger, auteurs de cette fameuse théorie.
L'effet Dunning-Kruger, ou effet de surconfiance, met en lumière l'écart entre les qualifications réelles d'un individu et la perception qu'il en aura ; soit la tendance par laquelle les individus les moins compétents surestimeront le plus leurs qualifications et leur savoir. La courbe ci-dessous schématise cette tendance (Confiance / niveau d'expertise).
Moins on est compétent dans un domaine, plus on est convaincu de l'être. Les novices vont avoir cette forte propension à surestimer leurs compétences, parce qu'ils sont incapables d'estimer le peu qu'ils savent dans un domaine, et combien il reste à apprendre. Au fur et à mesure que l'on étudie un thème, on prend conscience de l'ampleur de la question et du peu que l'on sait sur la montagne de connaissances nécessaire à l'appréhension sérieuse dudit sujet.
L'effet Dunning Kruger survient lorsqu'un novice ne réalise pas son incompétence, et se considère plus qualifié que les autres.
Deux illustrations souvent utilisées pour mettre en lumière le phénomène de surconfiance sont les exemples des Négateurs du réchauffement planétaire, ou encore les membres du mouvement anti-vaccination. Les moins cultivés sur ces sujets (médecine, climatologie,...) sont bien souvent les plus convaincus de leurs idées. Le manque d'information dans un domaine entraîne une tendance à favoriser les preuves qui valide notre conviction initiale et à négliger les autres. On peut également observer l'effet Dunning-Kruger à travers des émissions télévisées de type "American Idol", lors desquelles certains participants à l'épreuve des premières des sélections, s'offusquent de la mauvaise note que leur décerne le jury. Ils surestiment très largement leur talent de chanteur et seront plus enclins à remettre en question la légitimité du jury, plutôt que leur aptitude au chant.
Ces exemples doivent nous amener à réfléchir sur nos certitudes et remettre en question nos compétences. Sommes-nous aussi experts que nous le pensons ? Dans un environnement informatif qui privilégie l'anecdotique à l'exhaustif, sommes-nous vraiment allés au fond des matières que nous prétendons maîtriser ?
Dans la fonction commerciale, on connait bien l'adage "un Négo (ciateur) n'a pas d'ego". Aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, il est important d'accepter que l'on ne sait pas, que l'interlocuteur à qui on s'adresse peut être plus compétent que nous, qu'il peut avoir un point de vue différent et néanmoins respectable. Notre ego nous aveugle face à notre propre incompétence. L'abus de confiance nous rend imperméable au point de vue de l'autre, et bien souvent nous décrédibilise.
"L'ignorant se croit sage, le sage se sait ignorant" - William Shakespeare
Alors pour éviter toute mésestime, assurons-nous que notre confiance est bien légitime et corrélée avec notre niveau réel. C'est en se remettant continuellement en question, en considérant toujours notre savoir avec recul et humilité, que l'on s'inscrit dans une démarche fertile de progrès. Prenons exemple sur les plus sages; Socrate disait : "Je sais que je ne sais rien", et c'est là la seule chose dont nous devrions être certain.
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....
palmier37- Messages : 29917
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Ven 16 Déc - 12:14
Surconfiance et jus de citron : l'effet Dunning-Kruger :chepa:
1995. L'Américain McArthur Wheeler alors âgé de 44 ans, se lance dans le braquage de deux banques à Pittsburgh, avec pour seul camouflage pour dissimuler son identité, du jus de citron méticuleusement appliqué sur le visage. Rapidement identifié par les caméras de sécurité, le braqueur est arrêté et entendu par les autorités.
L'homme avait lu quelques temps auparavant que le jus de citron était historiquement employé comme encre invisible.
Effectivement, un texte rédigé à l'aide de jus de citron est imperceptible et se révèle en rougissant le papier à la flamme.
Wheeler pensait, à tort, q'un effet similaire se produirait en s'enduisant le visage de cette encre invisible artisanale. Il en savait si peu sur la composition du jus de citron et sur le fonctionnement de la télésurveillance qu'il était persuadé que son déguisement le rendrait méconnaissable aux caméras de sécurité. Confiant dans sa démarche, Wheeler avait néamoins pris soin de mettre à l'essai sa théorie en se prenant en selfie avec son polaroid. Malheureusement pour lui, la pellicule défectueuse était ressortie blanche, renforçant d'autant sa conviction quant à la validité de son artifice.
Comment est-ce qu'un homme ordinaire a pu être si confiant dans la réussite d'un tel braquage? C'est cette histoire qui a fasciné et inspiré deux chercheurs du département de psychologie de Cornell University : David Dunning et Justin Kruger, auteurs de cette fameuse théorie.
L'effet Dunning-Kruger, ou effet de surconfiance, met en lumière l'écart entre les qualifications réelles d'un individu et la perception qu'il en aura ; soit la tendance par laquelle les individus les moins compétents surestimeront le plus leurs qualifications et leur savoir. La courbe ci-dessous schématise cette tendance (Confiance / niveau d'expertise).
Moins on est compétent dans un domaine, plus on est convaincu de l'être. Les novices vont avoir cette forte propension à surestimer leurs compétences, parce qu'ils sont incapables d'estimer le peu qu'ils savent dans un domaine, et combien il reste à apprendre. Au fur et à mesure que l'on étudie un thème, on prend conscience de l'ampleur de la question et du peu que l'on sait sur la montagne de connaissances nécessaire à l'appréhension sérieuse dudit sujet.
L'effet Dunning Kruger survient lorsqu'un novice ne réalise pas son incompétence, et se considère plus qualifié que les autres.
Deux illustrations souvent utilisées pour mettre en lumière le phénomène de surconfiance sont les exemples des Négateurs du réchauffement planétaire, ou encore les membres du mouvement anti-vaccination. Les moins cultivés sur ces sujets (médecine, climatologie,...) sont bien souvent les plus convaincus de leurs idées. Le manque d'information dans un domaine entraîne une tendance à favoriser les preuves qui valide notre conviction initiale et à négliger les autres. On peut également observer l'effet Dunning-Kruger à travers des émissions télévisées de type "American Idol", lors desquelles certains participants à l'épreuve des premières des sélections, s'offusquent de la mauvaise note que leur décerne le jury. Ils surestiment très largement leur talent de chanteur et seront plus enclins à remettre en question la légitimité du jury, plutôt que leur aptitude au chant.
Ces exemples doivent nous amener à réfléchir sur nos certitudes et remettre en question nos compétences. Sommes-nous aussi experts que nous le pensons ? Dans un environnement informatif qui privilégie l'anecdotique à l'exhaustif, sommes-nous vraiment allés au fond des matières que nous prétendons maîtriser ?
Dans la fonction commerciale, on connait bien l'adage "un Négo (ciateur) n'a pas d'ego". Aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, il est important d'accepter que l'on ne sait pas, que l'interlocuteur à qui on s'adresse peut être plus compétent que nous, qu'il peut avoir un point de vue différent et néanmoins respectable. Notre ego nous aveugle face à notre propre incompétence. L'abus de confiance nous rend imperméable au point de vue de l'autre, et bien souvent nous décrédibilise.
"L'ignorant se croit sage, le sage se sait ignorant" - William Shakespeare
Alors pour éviter toute mésestime, assurons-nous que notre confiance est bien légitime et corrélée avec notre niveau réel. C'est en se remettant continuellement en question, en considérant toujours notre savoir avec recul et humilité, que l'on s'inscrit dans une démarche fertile de progrès. Prenons exemple sur les plus sages; Socrate disait : "Je sais que je ne sais rien", et c'est là la seule chose dont nous devrions être certain.
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Jeu 15 Déc - 22:11
Un ou une météorite est tombé(e) entre la ville flamande de Gand et Bruges..... Les gens sont à la recherche de l'endroit précis : par curiosité, mais aussi car la pièce devrait avoir une certaine valeur....
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Trois caméras faisant partie d'un réseau dont fait partie l'Université de Liège ont repéré la chute de cette météorite. Des données précieuses pour retrouver celle-ci, puisqu'une une zone de chute a pu être calculée.
Les scientifiques ont pu déterminer que l’origine de ce caillou " extraterrestre " se situe dans la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter.
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Trois caméras faisant partie d'un réseau dont fait partie l'Université de Liège ont repéré la chute de cette météorite. Des données précieuses pour retrouver celle-ci, puisqu'une une zone de chute a pu être calculée.
Les scientifiques ont pu déterminer que l’origine de ce caillou " extraterrestre " se situe dans la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter.
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Jeu 15 Déc - 11:55
Romy a écrit:Et tout ça pour un sandwich italien !
Ok je sors !
Sehr interessant !
Bonne journée
Du coup, je travaille avec mon équipe au mystère de "Mrs & Ms. Aṣṭādhyāyī ont 27 fils * (le 8ème est un Pandit de grands chemins).
..
beced- Messages : 29671
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Re: Quoi ? Où ?
par Romy Jeu 15 Déc - 11:42
Et tout ça pour un sandwich italien !
Ok je sors !
Sehr interessant !
Bonne journée
Ok je sors !
Sehr interessant !
Bonne journée
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Jeu 15 Déc - 5:39
Grad student solves 2,500-year-old Sanskrit grammar conflict ]
The discovery resolves an ancient riddle and may finally enable researchers to load Sanskrit into computers.
[size=18]AMANDA PAMPURO / December 14, 2022
[/size]
Page from an 18th-century copy of Pāṇini's Sanskrit language machine (University of Cambridge).
(CN) — What do you do when the rule written to resolve conflicts instead creates them?
Classical linguist Pāṇini all but described the rules of Sanskrit in his momentous 5th century B.C. work the Aṣṭādhyāyī. For more than two millennia however, one set of problematic instructions — meant for resolving rule conflicts — instead made the well-oiled language machine misfire.
Enter linguist and doctoral candidate Rishi Rajpopat, who detailed the discovery of his solution amid the complexities of Sanskrit scholarship in his dissertation published by the University of Cambridge on Wednesday.
Known as the father of Sanskrit and the first descriptive linguist, Pāṇini documented nearly 4,000 language rules in the “eight book” Aṣṭādhyāyī nearly 2,500 years ago. The Indian scholar lived in what is now northwest Pakistan and southeast Afghanistan.
Pāṇini's grammar rules are considered a ‘language machine’ complete with metalanguage, metarules and operation rules, predating Alan Turing's 1936 mathematical machine by more than 2,000 years.
"It stands out for doing more than merely describing its object language: the Aṣṭādhyāyī is a full-fledged machine which helps construct grammatically correct Sanskrit words and sentences through a step-by-step derivation process,” Rajpopat wrote in the paper.
In his work, Pāṇini left instructions to sort out cases of conflicting rules, traditionally interpreted to mean that “in the event of a conflict between two rules of equal strength, the rule that comes later in the serial order of the Aṣṭādhyāyī wins.”
This understanding of the conflict rule dates back to one of Pāṇini’s earliest successors, Kātyāyana, in the 3rd century B.C.
In his paper, Rajpopat suggests subsequent scholars following in Kātyāyana’s wake didn’t dare question their predecessors' conclusions.
“Kātyāyana and Patañjali too came to be worshipped in the tradition, which might have made it almost unthinkable for subsequent scholars to disagree with Kātyāyana or Patañjali over such fundamental aspects of the grammar,” he wrote in the paper explained.
Hindu author Patañjali lived from 200 B.C. to 150 B.C.
In application, however, the traditional reading generated additional problems and required numerous exceptions to work — defeating Pāṇini’s attempt to generate a closed system for Sanskrit.
When he hit a wall in his research, Rajpopat followed advice from his mentor, “If the solution is complicated, you are probably wrong.”
In a statement accompanying the study, Rajpopat described taking a break from his work to enjoy the summer. He then experienced a eureka moment when he returned to work.
“As I turned the pages, these patterns starting emerging, and it all started to make sense,” he said.
Rajpopat took a very close reading of the rule. When two rules might apply, Rajpopat discovered “the right-hand side operation prevails.”
For example, in the sentence “the gods are pleased by the mantras,” in Sanskrit “devāḥ prasannāḥ mantraiḥ,” the word “mantra” could be spelled “mantrabhis” or “mantraih,” depending on whether one uses the rule that applies to the left part of the operation or the right. Using the right part gives the grammatically correct “mantraih.”
Importantly, this reading of the rule was there in the classical work all along, thus the title of Rajpopat’s paper, “In Pāṇini We Trust.”
In his lifetime, Kātyāyana put forth two theories for interpreting the rule conflict before he ultimately followed the more problematic one. Rajpopat noted classical scholarship was more about learning and exploring ideas than arguing for a single correct answer.
After observing this pattern, Rajpopat spent many late nights in the library over the next two years completing research needed to support the finding.
Rajpopat offered his answer to Pāṇini’s rule conflict with humility and respect for the centuries of work that came before him.
“I respect the tradition for all the things it has accurately taught us about Pāṇini's grammar. I also exercise my freedom to disagree with it when my brain requires me to do so,” Rajpopat said in an email.
Dr. Rishi Rajpopat solved an ancient puzzle posed by Pāṇini's 2,500-year-old language machine (Rishi Rajpopat).
“I have come to realize that the most important component of good research is not more learning (or learning more?) but in fact, unlearning,” Rajpopat continued. “It is only in identifying those parts which we don't understand fully and dismantling our existing knowledge / epistemological frameworks that the potential for discovery lies. It is this willingness to unlearn and relearn and to repeat this process as many times as required that enabled me to solve this puzzle.”
A classical South Asian language, Sanskrit is considered the sacred language of Hinduism and was used by ancient scholars to immortalize great scientific, philosophical and literary achievements.
In addition to inspiring confidence in Indian scholarship, Rajpopat hopes the discovery helps advance the development of language processing in modern computers.
As Rajpopat continues to write on Pāṇini’s work, he is also studying ancient Greek to pursue an interest in Indo-European comparative philology and Indo-Aryan historical linguistics. Rajpopat also reads in Hindi-Urdu, Marathi, Gujarati, Bengali, and Punjabi.
.............................................
Un étudiant diplômé résout un conflit de grammaire sanskrite vieux de 2 500 ans
La découverte résout une énigme ancienne et pourrait enfin permettre aux chercheurs de charger le sanskrit dans les ordinateurs.
Page d'une copie du XVIIIe siècle de la machine à langue sanskrite de Pāṇini (Université de Cambridge).
(CN) — Que faites-vous lorsque la règle écrite pour résoudre les conflits les crée à la place ?
Le linguiste classique Pāṇini a pratiquement décrit les règles du sanskrit dans son ouvrage capital du Ve siècle av. travailler l'Aṣṭādhyāyī. Cependant, pendant plus de deux millénaires, un ensemble d'instructions problématiques - destinées à résoudre les conflits de règles - a plutôt fait échouer la machine à langage bien huilée.
Entrez le linguiste et doctorant Rishi Rajpopat, qui a détaillé la découverte de sa solution au milieu des complexités de l'érudition sanskrite dans sa thèse publiée par l'Université de Cambridge mercredi.
Connu comme le père du sanskrit et le premier linguiste descriptif, Pāṇini a documenté près de 4 000 règles linguistiques dans le « huit livre » Aṣṭādhyāyī il y a près de 2 500 ans. L'érudit indien vivait dans ce qui est aujourd'hui le nord-ouest du Pakistan et le sud-est de l'Afghanistan.
Les règles de grammaire de Pāṇini sont considérées comme une «machine à langage» complète avec métalangage, métarègles et règles de fonctionnement, antérieures de plus de 2000 ans à la machine mathématique d'Alan Turing en 1936.
"Il se distingue par le fait qu'il fait plus que simplement décrire son langage objet : l'Aṣṭādhyāyī est une machine à part entière qui aide à construire des mots et des phrases sanskrits grammaticalement corrects grâce à un processus de dérivation étape par étape", écrit Rajpopat dans l'article.
Dans son travail, Pāṇini a laissé des instructions pour trier les cas de règles contradictoires, traditionnellement interprétées comme signifiant qu '«en cas de conflit entre deux règles de force égale, la règle qui vient plus tard dans l'ordre sériel des Aṣṭādhyāyī l'emporte».
Cette compréhension de la règle de conflit remonte à l'un des premiers successeurs de Pāṇini, Kātyāyana, au IIIe siècle av.
Dans son article, Rajpopat suggère que les érudits qui ont suivi le sillage de Kātyāyana n'ont pas osé remettre en question les conclusions de leurs prédécesseurs.
"Kātyāyana et Patañjali sont également devenus vénérés dans la tradition, ce qui aurait pu rendre presque impensable pour les érudits ultérieurs d'être en désaccord avec Kātyāyana ou Patañjali sur des aspects aussi fondamentaux de la grammaire", a-t-il expliqué dans l'article.
L'auteur hindou Patañjali a vécu de 200 av. à 150 av.
Dans l'application, cependant, la lecture traditionnelle a généré des problèmes supplémentaires et a nécessité de nombreuses exceptions pour fonctionner - battant la tentative de Pāṇini de générer un système fermé pour le sanskrit.
Lorsqu'il s'est heurté à un mur dans ses recherches, Rajpopat a suivi les conseils de son mentor : "Si la solution est compliquée, vous avez probablement tort."
Dans une déclaration accompagnant l'étude, Rajpopat a décrit avoir fait une pause dans son travail pour profiter de l'été. Il a ensuite vécu un moment d'eurêka lorsqu'il est retourné au travail.
"Au fur et à mesure que je tournais les pages, ces modèles ont commencé à émerger et tout a commencé à avoir un sens", a-t-il déclaré.
Rajpopat a pris une lecture très attentive de la règle. Lorsque deux règles peuvent s'appliquer, Rajpopat a découvert que "l'opération du côté droit prévaut".
Par exemple, dans la phrase « les dieux sont satisfaits des mantras », en sanskrit « devāḥ prasannāḥ mantraiḥ », le mot « mantra » pourrait être orthographié « mantrabhis » ou « mantraih », selon que l'on utilise la règle qui s'applique à la partie gauche de l'opération ou la partie droite. L'utilisation de la partie droite donne le "mantraih" grammaticalement correct.
Il est important de noter que cette lecture de la règle était présente dans l'œuvre classique depuis le début, d'où le titre de l'article de Rajpopat, "In Pāṇini We Trust".
Au cours de sa vie, Kātyāyana a avancé deux théories pour interpréter le conflit de règles avant de finalement suivre la plus problématique. Rajpopat a noté que l'érudition classique consistait davantage à apprendre et à explorer des idées qu'à argumenter pour une seule réponse correcte.
Après avoir observé ce schéma, Rajpopat a passé de nombreuses nuits tardives à la bibliothèque au cours des deux années suivantes pour effectuer les recherches nécessaires pour étayer la découverte.
Rajpopat a offert sa réponse au conflit de règne de Pāṇini avec humilité et respect pour les siècles de travail qui l'ont précédé.
« Je respecte la tradition pour tout ce qu'elle nous a enseigné avec précision sur la grammaire de Pāṇini. J'exerce également ma liberté d'être en désaccord avec cela lorsque mon cerveau l'exige », a déclaré Rajpopat dans un e-mail.
Le Dr Rishi Rajpopat a résolu une ancienne énigme posée par la machine à langage vieille de 2 500 ans de Pāṇini (Rishi Rajpopat).
"J'en suis venu à réaliser que l'élément le plus important d'une bonne recherche n'est pas d'apprendre (ou d'apprendre plus ?) mais en fait de désapprendre", a poursuivi Rajpopat. « Ce n'est qu'en identifiant les parties que nous ne comprenons pas entièrement et en démantelant nos connaissances/cadres épistémologiques existants que réside le potentiel de découverte. C'est cette volonté de désapprendre et de réapprendre et de répéter ce processus autant de fois que nécessaire qui m'a permis de résoudre cette énigme......etc .......
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Mer 14 Déc - 18:00
Bruxelles > Je viens de voir passer un convoi de police (motards, paniers à salade, voitures...)...
Difficile de savoir si c'était des arrestations préventives avant le début du "Match" ou des arrestations de membres du Parlement Européen.....
Difficile de savoir si c'était des arrestations préventives avant le début du "Match" ou des arrestations de membres du Parlement Européen.....
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Re: Quoi ? Où ?
par Sator Arepo Mer 14 Déc - 17:56
Le photographe pourrait étudier les options de GIMP, par exemple, pour redresser la tourpalmier37 a écrit:
La nouvelle tour de Pise ?
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Re: Quoi ? Où ?
par Sator Arepo Mer 14 Déc - 17:44
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Re: Quoi ? Où ?
par palmier37 Mer 14 Déc - 17:04
palmier37- Messages : 29917
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Ven 9 Déc - 19:34
palmier37 a écrit:
La nouvelle tour de Pise ?
Quoi quoi, qu'est-ce qu'elle a la tour de Pise ???
beced- Messages : 29671
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Localisation : Belgique
Re: Quoi ? Où ?
par beced Ven 9 Déc - 16:48
mouette a écrit:On va pouvoir faire su ski au Signal de Botrange
En effet : le problème sera d'y arriver.. (et d'en repartir)..
...
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mouette- Messages : 86
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Ven 9 Déc - 11:19
palmier37 a écrit:
La lecture de ton article m'a fichu un coup de froid.
Et je venais de lire que les Anglais risquaient de ne plus fournir de gaz en cas d'hiver froid.
Et en plus, en Angleterre, comme Noël approche, la poste s'est mise en grève.....
...
beced- Messages : 29671
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Re: Quoi ? Où ?
par palmier37 Ven 9 Déc - 9:01
La lecture de ton article m'a fichu un coup de froid.beced a écrit:Un froid polaire va s’abattre sur la Belgique très prochainement: voici à quoi il faut s’attendre....
Il fallait bien que les températures chutent à un moment ou à un autre de l’année. Après des mois d’octobre et de novembre records, le mois de décembre sera plus froid que d’accoutumée. Un froid polaire va d’ailleurs s’abattre sur la Belgique dans les prochains jours.
Le météorologue Luc Trullemans confie à Sudinfo que les températures vont chuter d’ici mardi prochain en raison d’un air polaire qui descend droit sur notre pays. Dès demain, il fera -1ºC à Bruxelles et jusqu’à -8ºC dans les Ardennes. Nous irons même jusqu’à -10ºC ce samedi, si l’on en croit les prévisions de l’expert. Mais c’est ce mardi que l’on atteindra les températures les plus extrêmes, avec des minima entre -8ºC et -14ºC dans les Ardennes, pour -5ºC à -7ºC dans le centre du pays.
Après ces températures extrêmes, il faudra lutter contre une grosse dépression remplie de neige et de pluie, qui arrivera en Europe par la Bretagne et qui traversera le sud du pays. Il est possible que la Belgique ne soit pas touchée par cette dépression, puisque les prévisions seront réévaluées dimanche. Mais si elle nous atteint, il faudra craindre du verglas sur nos routes ainsi que de la neige. « On pourrait atteindre les 15 à 20 cm à l’intérieur du pays et jusqu’à 40 cm de neige dans les Ardennes », estime Luc Trullemans.
Et je venais de lire que les Anglais risquaient de ne plus fournir de gaz en cas d'hiver froid.
palmier37- Messages : 29917
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Localisation : Belgique
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Ven 9 Déc - 5:58
Un froid polaire va s’abattre sur la Belgique très prochainement: voici à quoi il faut s’attendre....
Il fallait bien que les températures chutent à un moment ou à un autre de l’année. Après des mois d’octobre et de novembre records, le mois de décembre sera plus froid que d’accoutumée. Un froid polaire va d’ailleurs s’abattre sur la Belgique dans les prochains jours.
Le météorologue Luc Trullemans confie à Sudinfo que les températures vont chuter d’ici mardi prochain en raison d’un air polaire qui descend droit sur notre pays. Dès demain, il fera -1ºC à Bruxelles et jusqu’à -8ºC dans les Ardennes. Nous irons même jusqu’à -10ºC ce samedi, si l’on en croit les prévisions de l’expert. Mais c’est ce mardi que l’on atteindra les températures les plus extrêmes, avec des minima entre -8ºC et -14ºC dans les Ardennes, pour -5ºC à -7ºC dans le centre du pays.
Après ces températures extrêmes, il faudra lutter contre une grosse dépression remplie de neige et de pluie, qui arrivera en Europe par la Bretagne et qui traversera le sud du pays. Il est possible que la Belgique ne soit pas touchée par cette dépression, puisque les prévisions seront réévaluées dimanche. Mais si elle nous atteint, il faudra craindre du verglas sur nos routes ainsi que de la neige. « On pourrait atteindre les 15 à 20 cm à l’intérieur du pays et jusqu’à 40 cm de neige dans les Ardennes », estime Luc Trullemans.
Il fallait bien que les températures chutent à un moment ou à un autre de l’année. Après des mois d’octobre et de novembre records, le mois de décembre sera plus froid que d’accoutumée. Un froid polaire va d’ailleurs s’abattre sur la Belgique dans les prochains jours.
Le météorologue Luc Trullemans confie à Sudinfo que les températures vont chuter d’ici mardi prochain en raison d’un air polaire qui descend droit sur notre pays. Dès demain, il fera -1ºC à Bruxelles et jusqu’à -8ºC dans les Ardennes. Nous irons même jusqu’à -10ºC ce samedi, si l’on en croit les prévisions de l’expert. Mais c’est ce mardi que l’on atteindra les températures les plus extrêmes, avec des minima entre -8ºC et -14ºC dans les Ardennes, pour -5ºC à -7ºC dans le centre du pays.
Après ces températures extrêmes, il faudra lutter contre une grosse dépression remplie de neige et de pluie, qui arrivera en Europe par la Bretagne et qui traversera le sud du pays. Il est possible que la Belgique ne soit pas touchée par cette dépression, puisque les prévisions seront réévaluées dimanche. Mais si elle nous atteint, il faudra craindre du verglas sur nos routes ainsi que de la neige. « On pourrait atteindre les 15 à 20 cm à l’intérieur du pays et jusqu’à 40 cm de neige dans les Ardennes », estime Luc Trullemans.
beced- Messages : 29671
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Re: Quoi ? Où ?
par palmier37 Mer 7 Déc - 15:45
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Lun 5 Déc - 8:38
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"Goeiemorgen, Morgen" ("bonjour le matin" en néerlandais) en Ukrainien cela "sonne" comme "mordel de berthe"...
Du coup, une chanson belge d'un ancien concours de l'Eurovision de 1971 fait le bonheur de TikTok en Ukraine...
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...
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Lun 5 Déc - 5:09
Comment le comportement de votre chien peut vous indiquer si votre partenaire vous trompe
Vous avez un doute sur la fidélité de votre partenaire ? Votre compagnon à quatre pattes pourrait détecter une potentielle infidélité… et même vous la signaler.
Forts de leurs 300 millions de récepteurs olfactifs (le nez humain n’en compte « que » six millions), les chiens sont connus pour détecter la moindre variation de parfum. De plus, ils sont capables de décoder ce que dit (parfois malgré nous) notre langage corporel, que ce soit à travers nos expressions faciales, nos postures, ou un contact visuel.
Ainsi, même si les chiens ne sont pas en mesure de comprendre véritablement l’infidélité, ils peuvent en détecter tous les signaux, expliquent Anna Webb, experte en comportement canin, dans les colonnes du Mirror.
Variation de parfum… et d’humeur> « Ils utilisent leurs capacités olfactives pour identifier où vous êtes allé, qui vous avez rencontré et ce qui a été fait. Le tout à partir de vos vêtements », explique la spécialiste. « Lorsqu’un nouveau parfum est reniflé, ils s’en souviendront, surtout lorsqu’il est corrélé à l’humeur du propriétaire », ajoute-t-elle.
Non seulement les chiens peuvent donc identifier une infidélité, mais ils trouveront aussi le moyen de la communiquer.
À partir de quand est-on infidèle? Voici ce qu’en pensent les Belges
Ainsi, si votre chien s’enfuit à la vue de votre partenaire, ou se montre particulièrement soumis en sa présence, cela peut être le signe qu’il se trame quelque chose de louche. Le chien peut même se mettre à aboyer sur un conjoint infidèle.
Une femme infidèle en a d’ailleurs fait l’amère expérience. « J’ai un cocker qui est habituellement dans mes jambes la plupart du temps quand je suis à la maison. Mais depuis que j’ai un amant (qu’il n’a jamais vu), son comportement a complètement changé », confie-t-elle au quotidien britannique. « Je suis morte de peur, mon mari va finir par le découvrir. »
« Mon chien avait l’habitude de venir à la porte pour me saluer quand je rentrais. Désormais, il me lance simplement un regard avant de s’éloigner. Quand je suis dans les parages, il se montre docile. Il a commencé à vouloir attirer l’attention de mon mari sur moi. Il m’a même aboyé dessus une fois, quand je franchissais la porte », ajoute-t-elle.
Alors, si vous remarquez un changement dans le comportement de votre chien, c’est qu’il est peut-être temps d’avoir une discussion avec votre partenaire !
.....
Vous avez un doute sur la fidélité de votre partenaire ? Votre compagnon à quatre pattes pourrait détecter une potentielle infidélité… et même vous la signaler.
Forts de leurs 300 millions de récepteurs olfactifs (le nez humain n’en compte « que » six millions), les chiens sont connus pour détecter la moindre variation de parfum. De plus, ils sont capables de décoder ce que dit (parfois malgré nous) notre langage corporel, que ce soit à travers nos expressions faciales, nos postures, ou un contact visuel.
Ainsi, même si les chiens ne sont pas en mesure de comprendre véritablement l’infidélité, ils peuvent en détecter tous les signaux, expliquent Anna Webb, experte en comportement canin, dans les colonnes du Mirror.
Variation de parfum… et d’humeur> « Ils utilisent leurs capacités olfactives pour identifier où vous êtes allé, qui vous avez rencontré et ce qui a été fait. Le tout à partir de vos vêtements », explique la spécialiste. « Lorsqu’un nouveau parfum est reniflé, ils s’en souviendront, surtout lorsqu’il est corrélé à l’humeur du propriétaire », ajoute-t-elle.
Non seulement les chiens peuvent donc identifier une infidélité, mais ils trouveront aussi le moyen de la communiquer.
À partir de quand est-on infidèle? Voici ce qu’en pensent les Belges
Ainsi, si votre chien s’enfuit à la vue de votre partenaire, ou se montre particulièrement soumis en sa présence, cela peut être le signe qu’il se trame quelque chose de louche. Le chien peut même se mettre à aboyer sur un conjoint infidèle.
Une femme infidèle en a d’ailleurs fait l’amère expérience. « J’ai un cocker qui est habituellement dans mes jambes la plupart du temps quand je suis à la maison. Mais depuis que j’ai un amant (qu’il n’a jamais vu), son comportement a complètement changé », confie-t-elle au quotidien britannique. « Je suis morte de peur, mon mari va finir par le découvrir. »
« Mon chien avait l’habitude de venir à la porte pour me saluer quand je rentrais. Désormais, il me lance simplement un regard avant de s’éloigner. Quand je suis dans les parages, il se montre docile. Il a commencé à vouloir attirer l’attention de mon mari sur moi. Il m’a même aboyé dessus une fois, quand je franchissais la porte », ajoute-t-elle.
Alors, si vous remarquez un changement dans le comportement de votre chien, c’est qu’il est peut-être temps d’avoir une discussion avec votre partenaire !
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beced- Messages : 29671
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Re: Quoi ? Où ?
par palmier37 Dim 4 Déc - 20:29
J'ai l'impression qu'un char à boeufs aurait été au moins aussi rapide.Romy a écrit:RJe n'ai pas trouvé beaucoup d'infos
Ce tour l'ont-ils fait d'une traite ou en plusieurs fois ?
Parce que trois ans semblent assez important
Pour un tour de France en stop mais aussi en train et cars
Si j'ai bien lu ? Rentraient-ils chez eux entre chaque étapes?
Sinon que faisaient-ils pour "meubler" leurs séjours ?
Où dormaient-ils ? Chez l'habitant comme Antoine de Maximy ?
On ne nous dit pas tout ...LOL !
palmier37- Messages : 29917
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Localisation : Belgique
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Re: Quoi ? Où ?
par beced Dim 4 Déc - 18:36
.Romy a écrit:RJe n'ai pas trouvé beaucoup d'infos
Ce tour l'ont-ils fait d'une traite ou en plusieurs fois ?
Parce que trois ans semblent assez important
Pour un tour de France en stop mais aussi en train et cars
Si j'ai bien lu ? Rentraient-ils chez eux entre chaque étapes?
Sinon que faisaient-ils pour "meubler" leurs séjours ?
Où dormaient-ils ? Chez l'habitant comme Antoine de Maximy ?
On ne nous dit pas tout ...LOL !
.Geneviève et Kees sont partis de chez eux car d’Angers ils étaient.....
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beced- Messages : 29671
Date d'inscription : 21/04/2017
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Re: Quoi ? Où ?
par Romy Dim 4 Déc - 17:48
RJe n'ai pas trouvé beaucoup d'infos
Ce tour l'ont-ils fait d'une traite ou en plusieurs fois ?
Parce que trois ans semblent assez important
Pour un tour de France en stop mais aussi en train et cars
Si j'ai bien lu ? Rentraient-ils chez eux entre chaque étapes?
Sinon que faisaient-ils pour "meubler" leurs séjours ?
Où dormaient-ils ? Chez l'habitant comme Antoine de Maximy ?
On ne nous dit pas tout ...LOL !
Ce tour l'ont-ils fait d'une traite ou en plusieurs fois ?
Parce que trois ans semblent assez important
Pour un tour de France en stop mais aussi en train et cars
Si j'ai bien lu ? Rentraient-ils chez eux entre chaque étapes?
Sinon que faisaient-ils pour "meubler" leurs séjours ?
Où dormaient-ils ? Chez l'habitant comme Antoine de Maximy ?
On ne nous dit pas tout ...LOL !
Romy- Messages : 6058
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Re: Quoi ? Où ?
par palmier37 Dim 4 Déc - 15:09
palmier37- Messages : 29917
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Localisation : Belgique
Re: Quoi ? Où ?
par beced Mar 29 Nov - 10:47
Romy a écrit:Déjà un zombi á l'époque...
Á poil !
A ne pas confondre avec l'autre truc ....
beced- Messages : 29671
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